Mon corps te parle
Tu me dis que mon corps est beau ; dois-je te croire ?
L’âge y a laissé son empreinte.
Mais dés que tes mains me touchent, me caressent
ou que tu l’embrasses,
il se met à parler.
L’âge, le temps, plus rien n’existe à part les sensations…
J’aime le poids de ton corps sur le mien,
ton souffle chaud contre mon visage.
J’aime tes doigts pétrissant ma chair,
pendant que mes ongles ont accroché ton dos, tes reins !
La fureur d’avoir été privé,
mon corps se venge et devient sauvage !
D’une femme douce et câline,
je suis devenue assoiffée !
Ta bouche goûte la pointe de mes seins,
les sucent, les mordilles, m’excitant encore plus.
Tes doigts fouillent ma chatte trempée,
pendant que mon cul se tortille dans tous les sens.
Je ne veux qu’une chose : ta bite au fond de moi,
que tu me laboure avec force, que tu me baises !!!
Joueur comme tu es, tu continues ton exploration.
Ta main parcourt mes reins,
s’arrête sur mon cul que tu claques,
une fois puis deux,
tu claques de plus en plus fort…
Mon corps s’agite de soubresauts,
un doigt s’enfonce, s’enfonce dans ce tunnel.
Le souffle coupé, j’attend, immobile,
je savoure chaque instant de sa progression.
Ma corolle s’amuse à se fermer,
sur ce doigt incrusteur.
Cuisses ouverte, la chatte juteuse,
je prends l’autre main et la pose dessus.
Je m’ouvre encore plus,
le laissant explorer le fond des mes entrailles…
Ma mouille coule de plus en plus,
elle glisse le long de mes fesses.
Je ne peux plus retenir les soupirs au fond de ma gorge...
Je m’agite, main devant ma bouche pour ne pas crier.
Surtout ne pas jouir maintenant !
Faire durer le plaisir, l’extase !!!
La frénésie s’empare de mon corps...
Je n’en peux plus,
il faut que je m’enfile sur toi !
Que je m’asseye sur toi !
Ta verge dressée juste à l’entrée de ma chatte béante,
je vais la chevaucher, la noyant sous ma cyprine !
Comme une chienne, je vais gémir sous nos coups de butoir,
remuant ma croupe, pour bien m’enfoncer !!!
Mes bras agrippent tes épaules, te serrant de toute force.
Ma langue avide de baisers cherche la tienne.
Ton ventre contre le mien, mes seins durs contre ton torse…
Comme une chienne,
je veux que tu me bourres de plus en plus !!!
J’en peux plus !!!
Tringle-moi avec ton bâton,
devant,
derrière,
les deux a la fois !
J’aime ce plongeon dans la luxure avec toi,
je mouille,
je dégouline !
Ta verge dressée juste à l’entrée de ma chatte béante,
elle glisse à l’intérieur,
chaude,
dure !
Un délice que je savoure.
Je commence à remuer du cul…
Je vais la retenir prisonnière longtemps.
Je vais la faire cracher son jus brûlant au fond de mes entrailles.
J’en ai envie,
beaucoup trop envie !
Trop !!!
Tu joues avec mon corps,
tu jouis du spectacle de voir ta queue rentrée dans ma chatte brûlante.
Je m’enfonce de plus en plus, doucement…
Le plus doucement possible…
Doucement malgré mon envie !
Soudain, je tremble,
mon corps vibre,
je crie,
je griffe,
le rythme s’accélère,
tu attend le moment pour déverser ton jus,
tes mots,
mes mots,
nos râles
s’unissent pour cette jouissance partagée,
je m’abandonne me laissant aller complètement contre toi.
Mon corps a du mal à se séparer du tien
et le plus longtemps possible, je reste collée contre toi.
Dans la tiédeur de nos draps, cette complicité de nos deux corps…
Epuisée, je me love au creux de ton épaule.
Je vais m’endormir tout contre toi.
Mon corps a parlé...